Cinéma soviétique d’avant-garde
À la faveur des révolutions russes et de l’instauration d’une société communiste en Russie, une nouvelle génération de cinéastes s’empare de l’art cinématographique, qui devient un laboratoire d’expériences visuelles, aussi audacieuses que créatives. Maîtres de la caméra et virtuoses du montage, les cinéastes-théoriciens de l’avant-garde portent le jeune cinéma soviétique au firmament et lui confèrent un prestige international.
Hors du chemin – Khabarda (1931)
En Géorgie, le nouveau pouvoir communiste décide de raser des masures croulantes et de reconstruire tout un quartier populaire.
Les joyeux garçons (1934)
Un modeste berger, musicien à ses heures perdues, est confondu avec un prestigieux chef d'orchestre dans une petite station balnéaire.
Le train mongol (1929)
Critique et analyse du film d'aventures soviétique "Le train mongol" (L'express bleu), réalisé en 1929 par Ilya Trauberg.
Les courts métrages de Sergueï Eisenstein
Analyse et critique des courts métrages du célèbre réalisateur soviétique Sergueï Eisenstein : Le Journal de Gloumov et Romance sentimentale.
Le Petit Orgue (1933)
Lorsqu'il apprend la mort du gouverneur d'une de ses villes, le tsar décide de le remplacer par un officier tyrannique mais dénué de cerveau.